Titre : Blackwater VI, Pluie
Auteur : Michael McDowell
Format : papier
Nombre de pages : 260
Editeur : Monsieur Toussaint Louverture
Dates de lecture : 01/07/2022 – 04/07/2022

4ème de couverture / Résumé éditeur :
Si le clan Caskey accuse le poids des ans, il est loin de s’être assagi : révélations écrasantes, unions insolites et réceptions fastueuses rythment leur vie dans une insouciance bienheureuse. Mais quelque chose surplombe Perdido, ses habitants et ses rivières. Le temps des prophéties est enfin venu.

Mon avis :
D’une certaine façon, la saga s’achève comme elle a commencé avec la pluie et le personnage énigmatique d’Elinor.

On retrouve dans ce tome une sorte de répétitions d’actes qui se sont déroulés à différents moments dans la saga. Prenez quelques personnages et faites-leur reproduire ce qu’ils ont subi ou fait par le passé. Un peu comme si cela était nécessaire pour boucler la boucle. Un peu comme la transmission d’un héritage, un passage de relais, un besoin que l’autre se mette à sa place et comprenne les conséquences de ces (ses) actes.

N’attendez pas que je vous en dise plus, il vous faudra le découvrir par vous-même.

Alors, je n’ai pas eu toutes les réponses à mes questions, mais peu importe, cela laisse place à mon imagination. Peut-être que j’aurais été déçue si l’auteur me les avait données car il est possible qu’elles n’auraient pas correspondu aux hypothèses que j’ai ébauchées.

C’est avec une certaine nostalgie que je referme cette saga qui m’a tenue en haleine sur un peu moins d’un mois. J’ai vraiment apprécié sa diffusion sous forme de tomes car mis bout à bout, l’ensemble fait un peu plus de 1500 pages et je ne suis pas certaine que je l’aurais lue si je n’avais eu qu’un volume unique entre les mains.

Je ne m’explique toujours pas l’engouement que j’ai eu pour cette saga. L’auteur a tout simplement réussi à me captiver comme par magie. Dans tous les cas, je ne regrette absolument pas de m’être laissée tentée par cette série.