« Blackwater IV, La guerre » – Michael McDowell

« Blackwater IV, La guerre » – Michael McDowell

Titre : Blackwater IV, La guerre
Auteur : Michael McDowell
Format : papier
Nombre de pages : 260
Editeur : Monsieur Toussaint Louverture
Dates de lecture : 24/06/2022 – 27/06/2022

4ème de couverture / Résumé éditeur :
La guerre est finie, vive la guerre ! Une nouvelle ère s’ouvre pour le clan Caskey : les années d’acharnement d’Elinor vont enfin porter leurs fruits ; les ennemies d’hier sont sur le point de devenir les amies de demain ; et des changements surgissent d’où personne ne les attendait. Le conflit en Europe a fait affluer du sang neuf jusqu’à Perdido. Désormais les hommes vont et viennent comme des marionnettes sur la propriété des Caskey, sans se douter que, peut-être, leur vie en tient qu’à un fil.

Mon avis :
C’est incroyable comme je suis accro à cette saga, ce n’est pourtant pas mon style de lecture de prédilection. Si on m’avait dit que j’enchainerais les tomes les uns après les autres comme cela, je ne l’aurais pas cru !

Les années passent à Perdido et nous sommes à l’aube de ce qui sera la seconde guerre mondiale. Bien entendu, ce conflit aura des répercutions à plusieurs niveaux, que ce soit au niveau des membres de la famille Caskey, de leurs affaires ou de la ville elle-même.

Certains personnages seront bien malmenés aussi bien au niveau physique que psychologique. D’autres se dévoileront. D’autres continueront sur leur lancée ou opèreront un virage à 90 degrés. Bref, la vie est loin d’être un long fleuve tranquille à Perdido.

Nous en apprenons un peu plus sur le côté étrange d’Elinor et ce qu’elle a transmis à une de ses filles, mais sans que le mystère soit levé complètement et le côté fantastique est plus présent dans ce tome.

Les femmes mènent toujours la barque dans le clan Caskey. Certaines cherchent à s’émanciper mais le lien familial est toujours aussi fort qu’elles le veuillent ou pas et on les retrouve tous (et là je ne parle pas que des femmes) plus soudés que jamais.

Ce tome se centre sur la génération suivante car plusieurs années se sont écoulées et les enfants d’autrefois deviennent des adultes. Les autres personnages ne sont pas pour autant dans l’ombre mais on sent que petit à petit, ils sont prêts à passer le flambeau.

Le livre s’achève sur un drame emprunt de mystère.

Comme pour les précédents, la couverture est tout autant travaillée et magnifique.

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